Sgen-CFDT dans les médias du 13 au 20 juillet

Revue de presse

20 juillet

SUD RADIO

Lancement Son Catherine Nave-Bekhti – contre la semaine à 4 jours :
1/3 des écoles primaires françaises optent pour la semaine à 4 jours ! Exit donc, la semaine à 4 jours et demi instauré sous Hollande. Le gouvernement avait laissé le choix aux communes, soit rester à 4 jours et demi, soit revenir à la semaine des 4 jours et offrir ainsi, le mercredi comme jour de repos aux enfants. Elles sont donc 31,8% à avoir voté pour, comme Fréjus, Calais, Nice ou encore Cannes, et a opté pour cette mesure qui sera effective dès la rentrée du mois de septembre. Une mauvaise mesure qui met en danger l’apprentissage des enfants selon Catherine Nave-Bekhti, secrétaire générale du SGEN (se prononce sguène) CFDT (Syndicat général de l’éducation nationale)

19 juillet

LE MONDE

Un tiers des écoles reviendra à la semaine de quatre jours dès septembre

« On n’est plus sur les modifications marginales évoquées à l’origine par le ministère, reconnaît Catherine Nave, du syndicat d’enseignants SGEN-CFDT. Au vu des conseils d’école réunis dans la précipitation, on avait fini par craindre que ce soit pire encore… Ces résultats montrent l’enjeu à rouvrir la réflexion sur les temps éducatifs des enfants. »

EUROPE 1

Un début d’été orageux pour Emmanuel Macron

Une crise dans l’enseignement supérieur. Une autre se profile du côté de l’enseignement supérieur et de la recherche. Là encore, les serrages de vis, à hauteur de 331 millions d’euros pour 2017, passent très mal, et le principal syndicat des personnels, le SGEN-CFDT, les a jugés « inacceptables ».

VOUSNOUSILS

331 millions d’euros en moins pour l’enseignement supérieur et la recherche

Une pilule qui ne passe pas du côté de la communauté éducative. Le SGEN-CFDT, premier syndicat chez les personnels, trouve cela « inacceptable » et menace de « prendre ses responsabilités », d’après Le Monde.

AEF

Personnels ouvriers des Crous : le Sgen-CFDT juge « scandaleux » les propos de la ministre de l’ESRI

« Nous trouvons scandaleux les propos de Frédérique Vidal concernant la fonctionnarisation des personnels ouvriers des Crous, sachant que le protocole a été signé par des organisations syndicales qui représentent 7 sièges sur les 10 au comité technique du Cnous » , réagit auprès d’AEF Franck Loureiro, SG adjoint du Sgen-CFDT, le 19 juillet 2017. « La ministre ne peut pas se permettre de remettre en cause des organisations syndicales représentatives », dit-il. Devant la commission de la Culture du Sénat, la ministre s’est dite « extrêmement étonnée » de cette demande de fonctionnarisation, estimant que « la majorité des personnels va refuser la titularisation » . « La moitié des organisations syndicales n’était pas présente [lors de la signature du protocole] si bien que certaines exigent l’application du protocole alors que d’autres le refusent », a-t-elle dit (1).

« Nous avons travaillé pour les entrants, afin de leur apporter une protection face à des directeurs de Crous qui peuvent avoir des méthodes de management assez dures », martèle Franck Loureiro. « Au vu de la pyramide des âges des personnels ouvriers des Crous, nous savions dès le début du travail sur la fonctionnarisation, que peu du stock de personnels allait accepter la titularisation », précise-t-il. Il rappelle qu’un comité de suivi a été mis en place et indique que le Sgen-CFDT doit rapidement rencontrer Thierry Coulhon, conseiller enseignement supérieur et recherche à l’Élysée. « Nous évoquerons cette question avec lui », souligne-t-il.

 

L’ETUDIANT

Tirage au sort et prérequis : ce qu’attendent les acteurs de la concertation

Cette démarche de mettre tous les thèmes sur la table nous convient assez, car il y a beaucoup de sujets qui ruissèlent : l’orientation, le baccalauréat… » Même constat du côté du Sgen-CFDT. « Il faut être imaginatif et créatif. Nous ne nous interdisons aucune piste de réflexion. Le terme de sélection ne plaît pas mais c’est pourtant déjà une réalité », observe Franck Loureiro, secrétaire national du syndicat.

AEF

Marseille : des syndicats dénoncent la situation dans l’unité de Didier Raoult. Des accusations « délirantes » selon lui

Plusieurs syndicats (SNTRS-CGT, SNPTES, SNIRS-CFE-CGC, Sgen-CFDT Recherche EPST, SCNERAC-CFTC, SNCS-FSU, CGT FERC-Sup Université Aix-Marseille) ont envoyé le 22 juin 2017 un courrier à Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, pour l’alerter sur la situation des personnels de l’Urmite (unité de recherche sur les maladies infectieuses et tropicales émergentes) à Marseille, une unité mixte dirigée par Didier Raoult, associant le CNRS, l’Inserm, l’IRD et AMU. Ces personnels sont selon le courrier « soumis au mépris d’une hiérarchie d’un autre âge », conduisant à des situations de « harcèlement moral » et « d’agression sexuelle ». Les syndicats demandent à la ministre de « prendre toutes les mesures nécessaires afin d’assurer la protection des personnels de l’Urmite ». Une mission CHSCT commune aux quatre tutelles s’est rendue sur place le 7 juillet. Didier Raoult attribue ces accusations « délirantes » à « 5 ou 6 grognons jaloux et mécontents du [récent] déménagement ».

 

18 juillet

CONTREPOINTS

Université : le tabou égalitariste doit sauter

Le SGEN-CFDT met en garde contre « une sélection dissimulée » qui serait « inacceptable » et préfère également « l’orientation 

17 juillet

L’ETUDIANT

Politique de site : le projet de loi d’habilitation au Conseil d’État

En juin, le Sgen-CFDT s’inquiétait déjà d’un allongement possible de ce délai, aujourd’hui fixé à dix ans. « S’il s’agit d’aboutir aux préconisations du rapport Cytermann, à savoir un nouvel EPCSCP où les membres garderaient la personnalité morale, sans prévoir de limite temporelle, c’est hors de question ! », commentait alors Franck Loureiro.

LE MONDE

Du côté des enseignants-chercheurs, la crainte est grande. « Je suis très pessimiste, reconnaît Franck Loureiro, secrétaire général adjoint du SGEN-CFDT. Les collègues sont épuisés, les groupes de travaux dirigés sont pléthoriques dans de nombreuses filières… On tire toujours plus sur l’élastique mais quand ça va craquer, ça va faire très mal. »

 

13 juillet

EDUCPROS

Budget 2017 : 331 millions d’euros en moins pour l’Enseignement supérieur et la recherche

Pour le Sgen-CFDT, « cela va forcément impacter les établissements qui attendent leur dernière part de dotation pour septembre-octobre. Qui dit moins de moyens, dit augmentation des économies : baisse du volume horaire des maquettes de formation, des étudiants en travaux pratiques, fermeture de certaines formations… », énumère, peu confiant, Franck Loureiro, secrétaire national du syndicat.

LE MONDE CAMPUS

Un plan sévère d’économies de 331 millions d’euros pour l’enseignement supérieur et la recherche

« Inacceptable », a réagi le SGEN-CFDT, premier syndicat chez les personnels, qui menace de « prendre ses responsabilités » si cette annonce se confirme, sous-entendant des mobilisations à venir.